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    Santé - Protection sociale

    Les Gilets Jaunes : un visage politique de la France laborieuse en quête de dignité sociale

    Olivier NobileBy Olivier Nobile9 janvier 2019Updated:12 février 20194 commentaires11 Mins Read
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    Manifestation du mouvement des gilets jaunes, à Belfort, le 29 décembre 2018.
    Photo : Thomas Bresson, Wikimedia

    Le mouvement des gilets jaunes marque-t-il une période d’accélération de l’histoire sociale comme on n’en avait plus connu depuis plusieurs décennies ? Il est évidemment trop tôt pour tirer les enseignements historiques de l’événement, mais pour la première fois depuis 1995, un mouvement social d’ampleur embrase le pays et nous rappelle avec fracas que le peuple français est une Nation politique qui a une passion pour l’égalité républicaine et ne supporte plus l’orgie vénale de l’oligarchie financière. Et pour la première fois, ce mouvement vient de faire mettre un genou à terre à un Président de la République qui apparaît jour après jour étranger à son propre pays. Et ce n’est peut-être qu’un début d’autant que personne n’est dupe quant aux mesures concédées par l’exécutif pour apaiser le mouvement, lesquelles feront reposer intégralement l’augmentation du pouvoir d’achat sur la prime d’activité sans que cela ne coûte un centime au patronat. Mais surtout, le mouvement des gilets jaunes rappelle à tous ceux qui, aveuglés par leur propre confort matériel, avaient fini par croire que la lutte des classes était une idée obsolète ou une vieille lune de marxistes cacochymes, que celle-ci n’a jamais cessé d’exister. Alors, on pourra toujours gloser sur les 4×4 des gilets jaunes stationnés sur les ronds-points, leur propension à voter Marine Le Pen ou pire à être d’affreux fachos anti-migrants et racistes. On en trouvera sûrement si on cherche bien et les chiens de garde patentés du mass-media ne manqueront pas de nous servir la soupe habituelle de violences des casseurs, de propos racistes et complotistes. En occultant ou euphémisant au passage le niveau extrême de brutalité de la répression policière qui a déjà fait des dizaines de blessés et mutilés. Sans parler d’une justice aux ordres, visiblement très prompte à dégainer les peines de prison ferme quand dans le même temps des Cahuzac, Benalla ou Balkany s’en sortent quasi indemnes.

    Quoiqu’on en pense, ce mouvement transcende de par son ampleur et sa durée, mais également de par sa forme inédite, la somme des revendications individuelles de ceux qui le composent. Autrement dit, le mouvement pris dans son ensemble acquiert une dimension qui ne saurait être réductible à la somme de ses parties. Il en va de tous les épisodes révolutionnaires. Et comme tout mouvement à dimension politique, il est voué, certes à son corps défendant, à se structurer et à s’inscrire dans le cadre institutionnel de la République. L’émergence de revendications autour du rétablissement de l’ISF et du Référendum d’Initiative Citoyenne (RIC) devrait nous interpeller en ce sens. Cela démontre que le peuple français n’a jamais perdu goût pour la politique en dépit de niveaux historiques d’abstention et de défiance extrême envers la classe politicienne. Concernant le RIC, immédiatement les commentaires politiques se succèdent pour expliquer qu’un tel référendum risquerait de faire dire au peuple (cette classe laborieuse, immature et dangereuse) des choses épouvantables, comme la remise en cause des traités européens… Visiblement le cauchemar de 2005 est encore vif pour tous ceux qui vouent un mépris larvé pour la souveraineté populaire et qui ne voient dans l’expression démocratique populaire qu’une menace pour l’ordre pur et parfait des institutions politiques devenues nécessairement technocratiques dans un monde qui a atteint la félicité de la fin de l’Histoire néo-libérale.

    Le peuple exprime une intuition qui relève en définitive de la finesse de l’analyse politique. L’alternance politique gauche/droite dans le cadre actuel des institutions de la Vème République et, plus encore, des traités européens ne peut engendrer aucune alternative politique au libéralisme et à la destruction programmée de notre pacte social Républicain fondé sur la laïcité, les services publics et le primat de la loi placée sous l’empire de l’intérêt général (autrement dit le principe d’ordre public qui place la loi comme socle juridique à la base du contrat social de la Cité). En ce sens, Macron a été un révélateur zélé de la haine des élites oligarchiques françaises pour l’histoire sociale de leur pays. La même que dépeignait Marc Bloch dans L’étrange défaite, pour qui la déroute de 1940 relevait davantage d’un défaitisme né de la haine des élites aristocratiques à l’endroit du Front populaire, avec au surplus le sentiment qu’une défaite face à la l’Allemagne nazie était au final un moindre mal face à la montée du bolchevisme.

    Macron voulait aller plus vite, plus loin et plus fort que ses prédécesseurs : en finir avec le programme du CNR et l’ordre public social en cassant les garanties du salariat au profit d’une atomisation de la classe des travailleurs, paupériser les services publics afin de mieux satisfaire les grands groupes privés concurrentiels (notamment à l’hôpital), accentuer la fracture territoriale au profit des grandes métropoles, affaiblir les institutions démocratiques en attisant les braises de l’antiparlementarisme… Ce projet porte un nom renvoyant à une idéologie : celle du capitalisme néolibéral transnational et financiarisé. Macron, l’enfant prodige de Bruxelles et de la finance en avait fini par croire ce qu’il éructait dans ses meetings de campagne : la France n’existait plus et en avait fini avec son idéal révolutionnaire et démocratique, son peuple étant mûr pour l’aventure romanesque de la mondialisation libérale qui apporterait paix et prospérité par le simple jeu de la main invisible du marché inscrite dans le cadre bienfaiteur de l’euro et du dépassement du cadre national. Quitte à forcer les « feignants » et autres « gaulois réfractaires » à traverser la rue.

    2019 devait être l’année des deux réformes phares de la Macronie, celles après lesquelles notre Président aurait parachevé son œuvre : la réforme de l’assurance chômage et celle des retraites. Ces deux réformes sont essentielles en cela qu’elles visent à déconstruire les deux derniers piliers de l’institution du Droit social née du CNR. En plaçant l’UNEDIC entre les mains de l’État (chose permise par son financement par la CSG et non plus par la cotisation sociale) et en instaurant un système unique de retraites par points, Macron souhaitait littéralement en finir avec les corps intermédiaires et la négociation d’accords entre syndicats et patronat. Certes Macron pouvait compter sur le MEDEF pour imposer le tempo des réformes (que ce soit au sein de l’UNEDIC ou de l’ARRCO-AGIRC), mais ce système demeurait imparfait et contingent : en effet le risque d’une unité syndicale est toujours latent d’autant que les outrances régulières du MEDEF ont la faculté assez réelle de mettre le feu aux poudres. Notre Président Jupitérien ne pouvait se satisfaire d’un simple rôle d’arbitre d’autant que la question du chômage et des retraites occupent une place centrale dans la régulation néo-libérale du marché du travail qu’il a apprise dans les bréviaires du FMI et de la Banque mondiale. Dans ce cadre, l’assurance chômage doit sortir de son rôle d’indemnisation des chômeurs au profit d’une mission d’orientation coercitive des chômeurs vers l’emploi, même le plus précarisé ou, à défaut, de sortie des plus inemployables des statistiques de la population active. C’est cette technique qui permet au Royaume-Uni ou à l’Allemagne de présenter des taux de chômage de 4% en dépit de taux de pauvreté supérieurs à celui de la France. Benjamin Disraeli disait : « il y a le mensonge, le gros mensonge et la statistique ». C’est manifestement le cas en matière de lutte contre le chômage dans laquelle les comparaisons chiffrées entre pays concurrents comptent beaucoup plus que la situation sociale des privés d’emploi. Pour ce qui est des retraites, à mes yeux la mère de toutes les batailles sociales, l’enjeu est encore plus considérable. Il s’agit de casser tout lien entre retraite et droits acquis par les travailleurs durant leur vie active au profit d’un dispositif exclusif par points dont le rendement (incertain) sera placé entre les mains de technocrates actuaires libérés de tout contrôle démocratique. Ce faisant, une telle réforme vise à casser le principal édifice du salaire socialisé (la retraite par répartition) et d’un droit de sortie des travailleurs de l’aire de domination du capitalisme, en forçant ceux qui le peuvent à investir dans les placements financiers et à cumuler retraite et activité à un âge avancé.

    2019 devait donc être l’annus horribilis du Droit social, c’était écrit. Les syndicats, incapables de s’entendre et de s’unir, allaient une fois de plus consommer leur défaite après un baroud d’honneur de 15 jours et Macron pourrait célébrer son triomphe, tel César devant Vercingétorix, cet autre gaulois réfractaire qui en son temps avait dû jeter les armes. Et puis, un mouvement spontané éclate, bouscule les certitudes et le cadre traditionnel de l’action politique tout en offrant de nouvelles perspectives de rassemblement populaire, et plus encore de détermination dans l’action que l’on pensait abolie à jamais.

    En outre, qui aurait pu penser que les ronds-points se transformassent en de formidables lieux d’éducation populaire permettant à de nombreux dégoûtés du spectacle politicien, jusque-là dépeints comme les irrécupérables de l’expression démocratique, de renouer avec la chose publique (la res publica) et le débat citoyen. Et ce n’est pas la moindre vertu de ce mouvement : en quelques semaines les citoyens ont rattrapé des années de retard civique, d’abstention politique et d’anesthésie médiatique. En ce sens, les gilets jaunes nous rappellent les grands moments du référendum de 2005 sur le traité constitutionnel européen et le formidable mouvement de prise de conscience citoyenne qui avait précédé le scrutin, mais, cette fois-ci, en dehors de tout cadre associatif, syndical ou de parti. Cette réappropriation par le peuple de la politique est sûrement la plus mauvaise nouvelle qui puisse arriver à un système oligarchique qui a prospéré pendant tant d’années sur la désertion de l’espace public par les classes populaires. Du coup, il ne lui reste qu’une carte essentielle à jouer pour espérer affaiblir le mouvement : durcir la répression policière et exploiter l’activisme des groupuscules gauchistes et/ou fascistes qui discréditent le mouvement. 

    Les gilets jaunes seront-ils cet aiguillon salutaire qui permettra enfin de créer les conditions d’une insurrection civique en fédérant un peuple humilié par 30 années de casse sociale et de déni démocratique ? Il est trop tôt pour le dire, mais la bonne nouvelle réside d’ores et déjà dans le fait que ce mouvement crée les conditions d’une convergence des luttes qui peut faire redouter à notre Président l’arrivée des beaux jours. Tout en forçant enfin les syndicats et les formations politiques traditionnelles qui se réclament du progrès social et républicain à renouer d’urgence avec les classes populaires et pas seulement en leur promettant la charité sous forme de minima sociaux et de prime d’activité.

    Le ressort fondamental du mouvement des gilets jaunes est édifiant : l’immense majorité des Français n’a que son salaire pour vivre et vivre dignement de son travail est la base de la dignité humaine. Réhabiliter le salaire et le statut du salarié, défendre et promouvoir les conquis sociaux arrachés de haute lutte (parfois violente souvenons-nous en), et tout simplement redonner aux travailleurs la dignité sociale qu’ils méritent, voilà l’enjeu central des revendications des gilets jaunes. Car il est un aspect que l’on pourra difficilement leur contester : les gilets jaunes incarnent cette France laborieuse qui se lève tôt, cette masse des salariés modestes, précaires, ou travailleurs indépendants paupérisés à qui l’on a fait comprendre depuis tant d’années qu’ils sont « trop riches pour être pauvres et trop pauvres pour être riches », cette majorité de Français qui ne savent pas ce qu’épargne ou patrimoine veulent dire et qui ne peuvent (ni ne veulent d’ailleurs) bénéficier des aides sociales réservées aux plus pauvres qu’eux.

    Nous n’avons eu de cesse de dénoncer, et ce depuis de nombreuses années, les conséquences sociales et politiques désastreuses des réformes néo-libérales de la Sécurité sociale et du droit du travail qui privent les travailleurs de notre pays d’une protection sociale et juridique de nature républicaine et égalitaire. Nous rappelions sans relâche que la transformation de la Sécurité sociale en un simple filet de sécurité destiné à la survie des plus pauvres et des exclus du marché du travail faisait peser un risque majeur en termes de cohésion sociale quand, dans le même temps, les travailleurs modestes subissent la précarisation de leurs conditions de vie et pire, pressentent que leurs enfants seront encore plus mal lotis qu’eux. Eh bien, reconnaissons que le mouvement des gilets jaunes semble confirmer notre analyse avec une rare acuité.

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