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    Laïcité

    Voile des accompagnatrices scolaires : sortir de la confusion et de l’émotivité

    l'UFAL - Union des FAmilles LaïquesBy l'UFAL - Union des FAmilles Laïques8 novembre 2019Updated:22 novembre 20198 commentaires6 Mins Read
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    Les signataires de cette tribune sont : Catherine Kintzler, philosophe ; Elisabeth de Fontenay, philosophe ; Sabine Prokhoris, philosophe et psychanalyste ; Fatiha Agag-Boudjahlat, enseignante, essayiste, féministe universaliste pour la laïcité ; Charles Arambourou, magistrat honoraire, militant laïque (UFAL) ; Laurent Bouvet, cofondateur du Printemps républicain, professeur de science politique ; Martine Cerf, secrétaire générale d’Égalité Laïcité Europe (EGALE) ; Marieme Hélie Lucas, sociologue, directrice du réseau « Secularism Is a Women’s Issue » ; Liliane Kandel, sociologue ; Eddy Khaldi, président de la Fédération nationale des délégués départementaux de l’Éducation nationale (DDEN) ; François Rastier, linguiste, directeur de recherches au CNRS ; et Jean-Pierre Sakoun, président du Comité Laïcité République.

    Tribune publiée initialement dans Le Figaro

    Monsieur le Président, « Le port du voile dans les services publics, à l’école, quand on éduque nos enfants, c’est mon affaire », avez-vous déclaré.

    C’est bien le cœur de la question. Mais l’école de la République est-elle circonscrite aux murs d’un bâtiment ?

    Le débat sur le port de signes religieux par des accompagnateurs de sorties scolaires n’est pas nouveau. À la suite de l’affiche de la FCPE présentant une accompagnatrice voilée, assortie du slogan : « Oui, je vais en sortie scolaire, et alors ? », et de la légende suivante : « La laïcité, c’est accueillir tous les parents sans exception », puis du déplorable incident impliquant un élu du Rassemblement national, le sujet flambe, souvent dans la plus grande confusion. Il faut donc y revenir.

    La réglementation actuelle ne fait pas du port de signes d’appartenance religieuse ou politique un droit absolu pour les accompagnateurs bénévoles. Cette liberté qui leur est actuellement accordée a pour conditions le bon fonctionnement du service et l’absence de trouble à l’ordre public, lesquels sont appréciés par le directeur d’école ou le chef d’établissement — de sorte qu’un éventuel refus puisse être précisément motivé. Mais, en l’absence de règle générale claire, tout est renvoyé (comme lors de l’affaire de Creil en 1989) aux enseignants sur le terrain et reste très sensible aux fluctuations de l’opinion.

    Il nous paraît nécessaire d’interdire l’affichage religieux ou politique par les personnes accompagnant occasionnellement les élèves lors de sorties scolaires. Il conviendrait de considérer non pas le statut des personnes ni le lieu mais la nature de l’activité. Dès lors qu’il s’agit d’une activité scolaire, liée à un acte d’enseignement, on est bien dans le cadre de l’école, quels que soient le lieu et les personnes impliquées. À plus forte raison si la sortie est obligatoire. Or c’est ce que la réglementation actuelle traite de manière inadéquate en distinguant ce qui a lieu dans les murs et hors les murs de l’école.

    Pourtant, rappelons que l’article L.141-5-2 du code de l’éducation s’applique aussi « hors les murs » : « L’État protège la liberté de conscience des élèves. Les comportements constitutifs de pressions sur les croyances des élèves ou de tentatives d’endoctrinement de ceux-ci sont interdits dans les écoles publiques et les établissements publics locaux d’enseignement, à leurs abords immédiats et pendant toute activité liée à l’enseignement. »

    Les personnes extérieures sont sollicitées pour encadrer les sorties scolaires à défaut de personnel disponible. En principe, c’est le personnel de l’Éducation nationale, astreint au respect du principe de laïcité, qui devrait assurer ces accompagnements. Ce n’est donc pas une jouissance de droit pour ces personnes. On les sollicite non pas pour leur proposer une promenade, mais parce que l’Éducation nationale n’a pas les effectifs suffisants pour assurer un service. En prêtant leur concours, les accompagnateurs extérieurs bénévoles contribuent à l’intérêt général. On doit les en remercier. Mais le service changerait-il de nature du fait qu’on recourt momentanément à des personnes extérieures ? Voilà qui semble difficile à établir. En cas d’accident, les accompagnateurs scolaires sont considérés comme des auxiliaires de vie scolaire et pris en charge comme tels.

    À écouter les médias, il semble aller de soi que les bénévoles sont des parents d’élèves, et plus particulièrement des mères. Il n’en est rien. Le directeur d’école peut solliciter ou accepter la collaboration d’accompagnateurs qui ne sont pas des parents. Et s’il s’agit de parents d’élèves, pourquoi insister tant sur les mères ?

    L’accompagnement scolaire serait-il une spécialité féminine et plus particulièrement maternelle ? Veut-on attendrir l’opinion et brouiller son jugement ? Les parents accompagnants n’accompagnent pas leur enfant — contrairement à ce que toute une production médiatique empreinte de sentimentalisme familialiste tente actuellement de nous faire croire — mais la classe entière.

    Ajoutons que l’activité scolaire n’est pas destinée aux parents, comme le suggère l’affiche de la FCPE, mais aux élèves.

    Si l’on accepte des mères portant un signe d’appartenance religieuse, il faut donc aussi accepter des « papas » portant kippa, kamis, turban et poignard… Faut-il accepter aussi des personnes portant des signes syndicaux ou politiques ? Un tee-shirt de la Manif pour tous, par exemple ?

    Soutenir le droit des accompagnateurs scolaires à porter des tenues ostensibles d’appartenance religieuse ou politique, c’est négliger la protection due aux élèves par la puissance publique qui les accueille dans son école. Et cela témoigne d’une bien étrange conception de ce qui est requis pour « protéger la liberté de conscience des élèves ».

    L’école publique doit-elle s’aligner sur le modèle fusionnel, intrusif de la « maman » tel qu’il nous est présenté ad nauseam non sans arrière-pensées ? Nous pensons que non. Le terme de « maman », utilisé dans l’affaire, introduit un biais sentimental et pathétique. Qui voudrait maltraiter une « maman » ? De plus, il suppose une conception de l’école qui ne soustrait pas les élèves à leur milieu, une école renvoyée sans cesse à son extérieur, au tourbillon social autant qu’au huis clos familial.

    Or l’école a vocation à dépayser sereinement les élèves, à les convier à un ailleurs. C’est d’abord cela, apprendre ; c’est cela, faire l’apprentissage exigeant de la réflexion et s’accoutumer à la distance critique.

    Des mères accompagnatrices souhaitent peut-être aussi vivre un moment qui les dégage de leur environnement et de leurs obligations communautaires, faire en d’autres termes l’expérience de la « respiration laïque ».

    L’élève qui ôte ses signes religieux en entrant à l’école publique et qui les remet en sortant fait cette expérience : il échappe, par cette alternance, aussi bien à la pression sociale de son milieu qu’à une uniformisation officielle d’État.

    Croire qu’une femme portant le voile serait incapable de comprendre et de pratiquer cette alternance, la renvoyer sans cesse à l’uniformité d’une vie de « maman voilée », c’est la mépriser et la fixer dans un rôle social. L’exempter de cette alternance libératrice, c’est cautionner, en la banalisant, la normalisation politico-religieuse qui fait du port du voile une obligation et un signe de « bonne conduite » islamique. Cela revient à dire à chaque musulmane : « Tu peux porter le voile tout le temps et partout, donc tu le dois. » C’est désarmer et abandonner celles qui, nombreuses, ne le portent pas, luttent pour ne pas le porter et entendent échapper au lissage de leur vie.

    Plutôt que de laisser professeurs, directeurs d’école et chefs d’établissement, sur une question aussi conflictuelle, apprécier seuls au cas par cas le degré de prosélytisme d’une tenue ou d’un signe, plutôt aussi que de laisser l’extrême droite s’emparer perversement d’un débat qui divise, ne faudrait-il pas le trancher, et ainsi l’apaiser par intervention législative, comme cela fut le cas en 2004 pour les élèves ?

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    8 commentaires

    1. François Braize on 8 novembre 2019 10 h 58 min

      Remarquable Tribune que l’on ne peut que saluer ! En effet il faut sortir de la confusion et de l’émotion, deux des mamelles de la bêtise…
      J’y ajouterai volontiers que le code de l’éducation (partie législative) range les parents qui participent au fonctionnement du SP de l’éducation (SP soumis au principe de laïcité par notre constitution elle-même) dans ce qu’il dénomme la « Communauté éducative ». Dès lors, on peut donc considérer que les pouvoirs publics auraient pu, sans prendre de nouvelle loi, décider (pour donner un fondement légal à une interdiction par une simple circulaire), qu’en application de ces dispositions du code de l’éducation tous ceux qui collaborent au SP de l’éducation sont astreints aux mêmes principes, dont celui de non affichage ostensible, face aux enfants et, ce, dans l’école ou en sorties scolaires, des convictions politiques, philosophiques, religieuses ou syndicales.
      De la sorte, on se serait évité bien des tracas actuels et passés face à l’offensive protéiforme et tous azimuts des islamistes. Mais l’ignorance crasse de notre propre droit, l’absence de courage voire la démagogie ont fait le travail.

    2. Chris on 8 novembre 2019 16 h 48 min

      Merci pour cette excellente tribune. L’argumentaire est limpide.

      • Laribaine on 8 novembre 2019 22 h 25 min

        Pourquoi  ne pas ouvrir cette tribune en pétition ?

    3. Philippe Forget on 8 novembre 2019 18 h 31 min

      Je m’étonne depuis le début que personne ne songe à l’argument suivant : que se passe-t-il au plan juridique en cas d’incident ou d’accident lors d’une sortie scolaire, quelle qu’elle soit? 
      Sauf erreur de ma part, c’est l’État qui se substitue alors au professeur responsable (sauf bien sûr si le comportement de celui-ci engage sa
      responsabilité pénale).

      Il me semble que cette donnée juridique clôt le débat, car elle démontre clairement que la sortie scolaire n’est pas assimilable à une situation hors école (où personne ne songera à demander à l’État de se substituer à lui en cas de problème !).
      En avançant cet argument, on démontre que la sortie scolaire relève bien du cadre de l’Éducation Nationale, et que les mêmes règles doivent nécessairement s’y appliquer.
      Donc pas de voile ou tout autre signe religieux pour les accompagnant(e)s.

    4. Philippe Forget on 8 novembre 2019 21 h 37 min

      Je m’étonne depuis le début que personne ne songe à
      l’argument suivant : que se passe-t-il au plan juridique en cas d’incident ou
      d’accident lors d’une sortie scolaire, quelle qu’elle soit?

      Sauf erreur de ma part, c’est l’État qui se substitue
      au professeur responsable (sauf bien sûr si le comportement de celui-ci engage
      sa responsabilité pénale).

      Il me semble que cette donnée juridique clôt le débat,
      car elle démontre clairmeent que la sortie scolaire n’est pas assimilable à une
      situation hors école (où personne ne songera à demander à l’État de se
      substituer à lui en cas de problème!).

      En avançant cet argument, on démontre que la sortie
      scolaire relève bien du cadre de l’Éducation Nationale, et que les mêmes règles
      doivent donc s’y appliquer.

      Donc pas de voile ou tout autre signe religieux pour
      les accompagnant(e)s.  

    5. Ben alors non on 11 novembre 2019 4 h 44 min

      Porter un signe religieux dans une sortie scolaire, c’est faire croire que tous les enfants ainsi encadrés partagent la même religion et c’est donc un manque de respect.

    6. Pingback: Sorties Scolaires | LaïCité Midi

    7. Pingback: Info Dernière, novembre 2019 | LaïCité Midi

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