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    Laïcité

    Gwénaële CALVÈS : Territoires disputés de la laïcité – 44 questions (plus ou moins) épineuses (PUF, 2018)

    Charles ArambourouBy Charles Arambourou6 avril 2018Updated:17 avril 20183 commentaires7 Mins Read
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    L’auteure, professeur de droit public, s’appuie sur une expérience de formation dans le cadre du plan gouvernemental « Valeurs de la République et laïcité », pour traiter des questions qui y ont été concrètement posées par les stagiaires. Constatant l’étendue des « zones grises » de la laïcité, entre sphère publique et société civile, elle en profite pour tenter de baliser les espaces concernés. Ce sujet a déjà été abordé par Frédérique de La Morena, dans un ouvrage dont nous avons rendu compte, Les frontières de la laïcité, dans une perspective moins concrète, mais sans doute plus militante.

    Les questions permettent d’aborder plusieurs chapitres : le « faux-ami » qu’est l’espace public ; la « laïcité-neutralité » : ses ambiguïtés, et ses frontières ; la situation des agents et des usagers du service public ; l’école publique (« un lieu à part ? ») ; les associations : chargées d’une mission de service public, ou bénéficiant d’un financement public ; enfin, les associations « de conviction laïque ».

    La rigueur juridique est au rendez-vous, non sans une discrète ironie, par exemple quand l’auteure relève « l’empire du droit mou », faisant allusion aux multiples Chartes, sans valeur juridique, utilisées pour tenter de régler les problèmes sectoriels. Elle se méfie également de l’interprétation libérale et « pacificatrice » de la loi de 1905 mise en avant par les pouvoirs publics, qui réduit la laïcité à la liberté de religion. Ainsi, le slogan « vivre ensemble » et « la rhétorique de la valeur » qui l’accompagne risquent de conduire à des interprétations extensives (la laïcité comme « mode de vie »), ou au contraire à la recherche de la coexistence des seules religions. Fine et juste analyse.

    Les territoires disputés sont clairement définis par G. Calvès, qui distingue la sphère publique (collectivités et services publics), la société civile, et la sphère intime. Toutefois, l’espace public maladroitement défini par la loi du 11 octobre 2010 (dite « loi burqa ») ne nous paraît pas, contrairement à l’auteure, mélanger la sphère publique et la société civile : il relève entièrement, à notre avis, de la seconde. La difficulté vient de l’intersection entre les deux espaces provoquée par « les usagers » des services publics.
    Sur ce point, on regrettera que l’auteure ne conteste pas davantage la tendance officielle à limiter la laïcité du service public à la « neutralité religieuse » de ses agents, alors qu’elle concerne également les usagers. La question 21 « droits et obligations des usagers » donne bien une réponse en ce sens, mais affaiblie par la seule référence au « droit mou », ou « non écrit ». Or on pouvait y faire figurer le droit positif conventionnel : ainsi, la Cour européenne des droits de l’Homme a « pris acte » qu’à l’hôpital public français « il est demandé également aux usagers, qui ont pourtant la liberté d’exprimer leurs convictions religieuses, de contribuer à la mise en œuvre du principe de laïcité (…) »1.

    De même, à propos des « tiers accompagnateurs de sorties scolaires », l’ouvrage oppose à l’obligation de neutralité religieuse la notion d’usager. Pourtant, celle-ci n’a aucune pertinence en la matière, comme nous l’avons rappelé à plusieurs reprises face à Jean-Louis Bianco : l’étude du Conseil d’État du 19 décembre 2013 (sans valeur jurisprudentielle, certes) cite au contraire ces accompagnateurs scolaires comme une exception à l’exemption des usagers de la neutralité ! G. Calvès se contente d’estimer que le CE a fait « une réponse de Normand » : Frédérique de La Morena, dans l’ouvrage cité, va plus loin, y compris juridiquement 2. Mais n’opposons pas davantage deux auteurs qui contribuent également à faire avancer nos connaissances juridiques sur la laïcité.

    Gwénaële Calvès a incontestablement réfléchi, depuis l’affaire Baby-Loup, à la question des « convictions laïques » : pourquoi, demande-t-elle, seules les convictions religieuses pourraient-elles justifier des « entreprises de tendance » ? La laïcité serait-elle un « monopole » de la puissance publique ? Être « de conviction laïque », l’auteure le dit excellemment, c’est être « profondément convaincu », indépendamment de ses propres options spirituelles ou philosophiques, « que la laïcité est le régime qui garantit, mieux que tout autre, la liberté et l’égalité ».

    Sur l’arrêt de la Cour de cassation du 25 juin 2014 qui a mis fin au contentieux Baby-Loup, on nous permettra de ne pas partager la déception de l’auteure, trop centrée sur « l’entreprise de tendance ». La Cour, en déniant ce caractère à la crèche, en donne bien en creux sa définition : avoir « pour objet » « de promouvoir ou de défendre des convictions » 3. Notons par ailleurs que l’arrêt tranche clairement et simplement l’affaire en justifiant l’obligation de neutralité des salariés en contact avec les enfants et les parents par la « nature de la tâche à accomplir », comme prévu par le Code du travail : or il n’est pas neutre de juger que la tâche d’éduquer des jeunes enfants suffit à motiver la neutralité religieuse !

    Au nom de l’existence des « convictions laïques », qu’elle défend à bon droit vigoureusement, G. Calvès se dit « perplexe » devant le slogan « la laïcité n’est pas une opinion, c‘est la liberté d’en avoir une » 4. Elle conteste que la laïcité soit envisagée comme « forme vide ». Or, partisans nous-mêmes de la laïcité « cadre vide » (c’est une forme, non une substance), nous n’en défendons pas moins les « convictions laïques » : en quoi cela serait-il contradictoire ? Après tout, la République n’est pas une opinion, mais il y a bien des « opinions républicaines » ! C’est que le droit seul, avec sa logique binaire, ne peut rendre compte de la philosophie qui fonde, depuis au moins un siècle et demi, l’engagement laïque.

    Voilà sans doute la limite de cet ouvrage, par ailleurs très estimable : la forme « réponses quasi-officielles à des questions pratiques » contraint l’auteure, dans le cadre des formations auxquelles elle participe, à une prudence qui l’éloigne des préoccupations militantes. Sa bibliographie va ainsi de Jean Baubérot à Catherine Kintzler, en passant par Philippe Portier et Olivier Roy. Son souci de tenir compte de « la diversité des convictions laïques », s’il la conduit à juste titre à dénoncer dans « le dialogue interconfessionnel » une « conception bien étrange de la laïcité », ne la préserve pas de la dichotomie manichéenne (et fausse) : laïcité « de reconnaissance » vs « séparatiste ». Seul le droit serait donc recevable ? On en doute, car, comme le montre pertinemment l’ouvrage, ce droit est muet sur bien des points, et « flou » sur beaucoup d’autres. De surcroît –ce que n’ose écrire l’auteure-, le Conseil d’État ne figure pas parmi les amis de la laïcité5…

    De l’ouvrage de Gwénaële Calvès, on conseillera donc une lecture critique : d’une part pour déchiffrer, entre les lignes, des options personnelles souvent dignes d’intérêt ; d’autre part, pour faire le tri entre les réponses par trop officielles (style « Valeurs de la République ») et celles qui prennent des positions rigoureuses, voire novatrices. Ces dernières mériteraient, à notre avis, d’être développées dans un contexte moins pédagogique et plus autonome, où Gwénaële Calvès pourrait dire sans détour ce qu’elle pense vraiment, elle.

    1. Ebrahimian c. France, 26 novembre 2015.[↩]
    2. G. Calvès omet de faire référence au principe constitutionnel de laïcité de l’enseignement public, ce qui la conduit à définir une laïcité scolaire « ratione loci » (en raison du lieu), alors qu’elle est « ratione materiae » (en raison de la matière : toute activité d’enseignement public).[↩]
    3. Définition contestable, selon nous, car excluant les établissements privés confessionnels sous contrat, dont l’objet doit être l’enseignement, non l’évangélisation (selon la loi !), mais qui constituent bien des « entreprises de tendance » puisque leur « caractère propre » est protégé constitutionnellement.[↩]
    4. Attribué par G.C. à l’Observatoire de la Laïcité, mais que nos amis du Comité Laïcité République reprennent à leur compte.[↩]
    5. On regrettera que l’auteure paraisse emboîter le pas au CE en écrivant qu’une statue de la vierge ou « une crèche de la Nativité installée par des autorités publiques » auraient une signification « non pas religieuse, mais culturelle ». À moins qu’il ne s’agisse d’en faire ressortir implicitement l’absurdité ?[↩]
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    Livre
    Charles Arambourou
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    Militant laïque, professeur, puis haut-fonctionnaire, Charles Arambourou est actuellement magistrat financier honoraire. Il suit les questions de laïcité au bureau national de l’UFAL.

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    3 commentaires

    1. François Braize on 7 avril 2018 16 h 35 min

      Belle et utile analyse de cet ouvrage. Merci donc à Charles ArambourouMais je pense que l’auteur de l’ouvrage a raison de discuter la laïcité conçue comme un "cadre vide" comme la considère Charles Arambourou de son propre aveu sinon on ne lui aurait jamais prêté  une telle turpitude ! La laïcité à la française se confond, depuis les origines, avec la République et ses valeurs, on ne peut donc, sauf à risquer de dériver vers la laïcité simple neutralité,  la considérer comme un cadre vide qui permettrait toutes les convictions.  Y compris la conviction laïque ce qui en fait dès lors, tel le rouleau de Moebius ou la fontaine d’Escher,  une boucle récursive… Ce qui démontre l’impossibilité logique de l’analyse dite du "cadre vide".

    2. Arambourou on 11 avril 2018 21 h 02 min

      Merci de votre lecture attentive. Je maintiens que la laïcité est un cadre vide, non un contenu : l’approche par les "valeurs" me paraît à écarter, au profit de celle par les principes. La liberté de conscience, pas plus que son corollaire, le libre exercice des cultes, ne sont autre chose que des cadres : la République n’est pas l’arbitre des consciences, encore moins des croyances. Il suffit que les unes et les autres s’expriment dans cet autre cadre qui est celui de l’ordre public défini par la loi, et du respect des droits et libertés d’autrui. Sur le blog de Catherine Kintzler, vous trouverez d’intéressantes contributions sur la critique des "valeurs" (subjectives, essentialistes, relatives). La liberté, l’égalité, la laïcité sont des principes (définis en droit positif, objectifs). La fraternité, c’est un peu plus complexe je le reconnais : en revanche, la solidarité, qui en est une composante, demeure un principe.La liberté de culte, par exemple, s’applique aussi bien aux intégristes de feu Mgr Lefèbvre qu’aux curés progressistes. Le salafisme n’est pas interdit : ce qui l’est, c’est l’appel au djihad. Etc.

    3. François Braize on 18 avril 2018 4 h 31 min

      Cher amiJe ne peux donc pour ma part qu’acter notre total désaccord sur ce point. La laïcité à la française (et pas à l’anglo saxonne) a et est même un contenu : c’est celui de la construction de citoyens émancipés des obscurantismes et libres. Elle n’est pas qu’un cadre juridique vide permettant l’exercice de libertés et notamment de la liberté de culte. Quant aux valeurs dont vous la videz ainsi ce sont celles auxquelles fait référence la CEDH pour dénier à un parti islamiste prônant la charia la protection de la convention contre l’Etat qui l’avait dissous. Inutile en outre de saucissonner notre devise nationale pour mesurer entre chacun de ses termes ce qui est plutôt principe ou valeur en reconnaissant vous même que pour l’un votre théorie n’est pas valide…  Quelle différence d’un point de vue non jésuitique entre valeurs et principes fondamentaux d’ailleurs ? Devrions nous aussi faire le tri dans la DDHC pour décider de ce qui relève de l’un et ce qui relève de l’autre ? Pour ma part c’est non et cela m’est égal que certains de mes adversaires me considèrent comme subjectif voire même essentialiste car ces valeurs, qui constituent la laïcité à la française et non pas à l’anglo saxonne, sont admirables. Bien cordialement

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