
A l’Union des familles laïques (Ufal), on fait l’hypothèse que « beaucoup de femmes, en particulier au sein des classes populaires, en sont réduites à bricoler des solutions de garde, soit en parvenant à se mettre au chômage, mieux indemnisé que la PreParE, soit en faisant appel à la famille (conjoint, grands-parents…) », explique Nicolas Gavrilenko, responsable de la commission familles de l’association.