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    Economie

    Chronique de la dégradation industrielle

    Raphaël FavierBy Raphaël Favier5 janvier 20119 Mins Read
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    1 – LE TRAVAIL INTÉRIMAIRE EN FRANCE

    (source : PDG du Groupe Randstad France, société hollandaise, 28/12/2010)

    « Le grand secteur d’avenir dans ce domaine concerne tout d’abord le secteur de la fonction publique depuis son « ouverture ». En effet, on s’attend à une croissance exponentielle. Sur 5 millions de fonctionnaires, soit 25% de la population active, 36% sont des vacataires, 750 000 sont des travailleurs à temps partiel. Cela représente un marché potentiel de 130 000 emplois à temps plein soit un marché de 3 à 4 milliards d’euros. Un deuxième secteur concerne « les services à la personne », dont on attend l’autorisation d’un changement de l’objet social des entreprises du secteur qui permettra de nous en occuper.

    D’autre part, le marché du recrutement s’étant ouvert aux entreprises de travail temporaire   depuis la loi Borloo de 2005, leur part représente en 2008 138 millions d’euros sur les 780 que représentent le marché du recrutement.

    Avant la crise de 2008 le marché du travail temporaire en France représentait l’équivalent de 620 000 emplois à temps plein par jour, soit 2 millions de personnes tout secteur confondu. En 2009, ce chiffre était de 450 000 , en 2010 il est estimé à 500 000. Le chiffre d’affaires total du travail temporaire en France qui était en 2008 de 20,8 milliards d’euros a reculé à 15,3 milliards en 2009.

    Cependant, il y a pénurie sur une cinquantaine de qualifications : comptables, chauffeurs routiers, infirmières, le bâtiment, etc. L’intérim repart dans l’aéronautique, l’automobile, la machine outil, etc. »

    2 – SUR L’ÉNERGIE EN ALLEMAGNE (exemple inverse de la stratégie suivie par la France)

    Outre-Rhin, une décennie après les privatisations massives des entreprises de l’énergie au nom de la libéralisation du marché, un mouvement général de « recommunalisation » des capacités de production d’énergie est en cours.

    Le consortium ou groupement de régies communales des villes de Dortmund, Duisburg, Bochum, Essen, Oberhausen et Dinslaken va acheter pour 649 millions d’euros 51% de la société énergétique Steag plus une option d’achat sur les 49% restant, aidé par le Land de Rhénanie du Nord qui a modifié la réglementation pour leur permettre de s’étendre au-delà de leur territoire. Ainsi, les régies qui se contentaient jusqu’ici de distribuer l’électricité, gaz et chaleur à travers leurs propres réseaux, s’approprient du cinquième producteur d’électricité en Allemagne avec 10 Gwatts ou 10.000 mégawatts de capacités concentrées dans 9 centrales à charbon. A titre de comparaison, le nucléaire français est capable de fournir, quand toutes les centrales sont en activité, environ 69 Gwatts d’électricité.

    A l’heure actuelle, les communes cherchent à se libérer de l’emprise des quatre géants E.ON, RWE, EnBW et Vatenfell même si elles doivent souvent attendre l’expiration des contrats pluriannuels.

    Ainsi l’an dernier, un groupe de régies a acheté à E.ON sa filiale Thuga qui détient plus de 100 fournisseurs d’électricité communaux. De même EDF vient de vendre ses 45% d’EnBW au Land de Bade Wurtemberg.

    L’appui du syndicat majoritaire IGBCE et des autorités ont permis d’écarter une offre d’achat venant d’une entreprise tchèque.

    L’opération est financée à 70% par le crédit mais l’investissement est censé offrir un rendement bien supérieur aux coûts des crédits.»

    3 – ET PENDANT CE TEMPS LÀ EN FRANCE ON SUIT LE PROCESSUS CONTRAIRE EN BRADANT NOTRE POTENTIEL ÉNERGÉTIQUE

    Sur Areva :

    Récemment notre gouvernement a obligé Areva à vendre à Alstom (environ 4 milliards d’euros) son secteur Transmission et Distribution (T&D), celui-ci ayant été au préalable vendu par Alstom à Areva (environ 800 millions d’euros) en 2003 au moment du débâcle d’Alstom sauvé du dépôt de bilan par les deniers publics (période de N. Sarkozy à Bercy). Or, la branche T&D rapportait à Areva presque 50% de ses bénéfices. Ainsi affaibli, le gouvernement a refusé de capitaliser Areva à hauteur de 6,5 milliards d’euros et a proposé une ouverture du capital. Cette ouverture avait comme objectif, en cas de succès, de rechercher le reste des capitaux nécessaires auprès de la Bourse.

    Après avoir essuyé un premier échec, notre gouvernement a convaincu un fond koweïtien de mettre 600 millions d’euros, l’Etat apportant 300 millions d’euros, ce qui constituent un échec mais suffit pour introduire Areva dans la Bourse. Cette faible levée a été surnommée par un journal « le ristretto du Nespresso ». Mais du coup, cette levée ridicule extériorise une décote de presque un quart sur la valorisation souhaitée par l’État.

    Il est signalé que si EPR signifiait déjà pour les clients « Enchaînements de Problèmes et de Retards », il peut désormais vouloir dire pour les actionnaires « Évaluation Périlleuse et Rabougrie ».

    Sur EDF :

    Ainsi que nous l’avions déjà annoncé à l’UFAL, pour la première fois depuis 1919 l’Etat via EDF va vendre ses barrages.  Au total, il compte mettre en concurrence 49 ouvrages représentant 5300 mégawatts (Mwatts) soit 12% de la production hydraulique française ou l’équivalent de 5 centrales nucléaires. Les deux premiers barrages sont : celui de la Vallée d’Ossau dans les Pyrénées et le Lac Mort en Isère.

    Les concurrents sont nombreux, liste incluant tristement EDF qui dit vouloir se battre pour garder ses barrages.

    Or, ces barrages constituaient un réseau nécessaire et complémentaire à la production d’électricité par le nucléaire.

    Un autre problème soulevé par la vente de ces barrages concerne le personnel.

    Comme le signale un responsable de l’une des sociétés intéressée par l’achat « L’énergie est un métier très capitalistique et, au final, c’est toujours le consommateur qui paie l’addition. »

    Sur Poweo, entreprise de vente d’électricité avec un portefeuille de 400 000 clients :

    Entreprise créée par Charles Beigbeder (le frère de l’autre), responsable du secteur Recherche et Innovation au Medef, est aujourd’hui en difficulté financière avec une perte opérationnelle de 40 à 50 millions d’euros. Cette entreprise vient donc de vendre à l’un de ses actionnaires la production d’électricité lui permettant ainsi d’avoir de la trésorerie jusqu’à l’année prochaine mais garde son portefeuille de clients.

    Mais pourquoi une telle stratégie? Parce que Poweo compte sur la fameuse loi NOME (1)Votée le 25 novembre 2010, la loi NOME (Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité) vise à l’ouvrir le marché de l’électricité à la concurrence., déjà dénoncée par l’UFAL. En fait tout dépendra du prix du mégawatteur proposé par EDF à ses concurrents.

    Au sujet de la loi NOME, le gouvernement a confié une mission à Paul Champsaur. Cette attribution de mission avait été refusée par J.L.Borloo mais remise sur la sellette par le nouveau gouvernement. EDF refuse de céder son électricité à moins de 42€ par mégawatt. Mais GDF-Suez réclame 35€ tandis que la Commission de Régulation de l’énergie propose 38€ le mégawatt. A 42€ les actionnaires de Poweo sont très intéressés car ils estiment que ce prix « constitue le plafond pour garantir la rentabilité des activités de commercialisation, déficitaires aujourd’hui à raison de 4 millions d’euros par mois, sur lesquelles Poweo prévoit de se recentrer.

    4 – DES RESPONSABLES DE SOCIÉTÉS ÉTRANGÈRES EN FRANCE EXPRIMENT LEUR VISION DE LA FRANCE

    (Corp Worldwide Channels Cisco Systems, GE France, Siemens SAS, Accenture France, Barclays Bank PLC France)

    Dans leur volonté d’attirer l’investissement de leur maison mère en France ils soulignent:

    Les atouts:

    «  L’exceptionnelle productivité de notre main-d’œuvre, notre excellence scientifique et technologique, notre localisation au cœur d’un grand marché, la qualité de nos infrastructures… avec des entreprises où les salariés ont un taux de productivité horaire inégalé au monde, un pays où le taux annuel de jours de grève dans le secteur privé est l’un des plus faibles d’Europe… Ces dernières années, nous avons bénéficié d’armes comme le crédit d’impôt recherche qui nous a donné un avantage comparatif par rapport à nos compétiteurs traditionnels, l’assouplissement des 35 heures, la suppression de la taxe professionnelle, ou la rupture conventionnelle du contrat de travail. »

    Les défauts:

    «  les complexités administratives, fiscales et juridiques. »

    5 – SUR L’ÉLECTRONIQUE DE SANTÉ

    La santé est une activité qui intègrera dans les années à venir de plus en plus d’électronique. L’imagerie médicale, le diagnostic médical, la télémédecine sont les applications les plus connues avec deux caractéristiques : la miniaturisation et la portabilité de la technologie. On pense aussi aux nanotechnologies (un nanomètre étant égal à un millionième de millimètre). Le terme anglo-saxon utilisé est « le bioengineering » ce qui peut se traduire par les sciences pour l’ingénieur appliquée aux sciences de la vie mais en aucun cas en biotechnologie ou bio-ingénierie.

    Le marché de l’électronique de santé est évalué à 40 milliards d’euros en 2010. La France accuse un retard non négligeable dans ce secteur où aucune grande entreprise n’existe.

    Ceci explique que le sud-coréen Samsung ait récemment mis la main sur son compatriote Medison.

    Cette évolution fait dire au Président de la Banque Européenne d’Investissement « Il faut aussi plus de diplômés de l’enseignement supérieur : l’Europe aura besoin de 16 millions  de travailleurs qualifiés en plus et devra supprimer 12 millions d’emplois à faible qualification d’ici à 2020 »

    6 – AU SUJET DU  CAC 40

    La capitalisation boursière des sociétés du CAC 40 est détenue à plus de 42% par des étrangers et pour 17 de ses valeurs à plus de 50%. On estime donc que l’indice français ( sic!) est ainsi ouvert à tous vents.

    CONCLUSIONS

    • En Allemagne on constate l’échec des privatisations de l’énergie puis l’énorme gâchis financier des privatisations/récupération de l’énergie par les régies communales appuyée par les Länder et les syndicats. Mais gâchis pour qui ? Certainement pour le citoyen.
    • La France est dépendante de l’étranger pour son énergie : nous ne cessons de le dire à l’UFAL. Dans ce cas, on voit la catastrophe de la stratégie exposée ci-dessus. Mais catastrophe pour qui ? Contre les intérêts des citoyens bien sûr ( plus 25% d’augmentation de l’électricité en 2011) ! Par contre en faveur des intérêts de Poweo, et obtenus à l’énergie minimale grâce à la loi NOME. Et cependant l’action Poweo et l’action EDF ne cessent de chuter ! La valeur de Poweo qui était de 518 millions d’euros en 2007 ne vaut plus que 67,5 millions. Et ceci n’empêche pas Charles Beigdeber, du Medef, de donner des conseils de management. On voit à nouveau combien il est devenu indispensable de préparer les salariés à prendre le relais de la gestion des entreprises.
    • D’autre part, d’après le journal espagnol El Pais, l’Espagne a vendu pour la première fois de son histoire de l’électricité à la France. Ceci montre la nécessité et l’urgence d’ obliger l’Etat à prendre le contrôle de la totalité de l’énergie.
    • L’exemple décrit pour parler de l’électronique de santé a été choisi en vue de montrer un cas où les créations d’emplois à haut niveau technologique sont en cours, mais où malheureusement la France industrielle est faiblement présente.
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    ↑1 Votée le 25 novembre 2010, la loi NOME (Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité) vise à l’ouvrir le marché de l’électricité à la concurrence.
    Areva Crise EDF électricité énergie Entreprise étrangers GDF-Suez Gouvernement Grève Loi Nome nucléaire Santé Sarkozy scientifique
    Raphaël Favier

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