Facebook Twitter YouTube LinkedIn RSS
    En ce moment
    • Le juge, le burkini, et le « principe de laïcité et de neutralité du service public ».
    • L’UFAL demande le versement de l’Allocation de Rentrée Scolaire dès l’âge de 3 ans !
    • i tréma #56 – « Lettres sur la Révolution française » de Martine Lecoq
    • Dérives communautaristes à Grenoble, réponse au commentaire d’une adhérente
    • Laïkino #35 : Le cinéma turc
    Facebook Twitter LinkedIn YouTube RSS
    UFAL
    • À propos
      • Qu’est-ce que l’UFAL ?
        • Une association familiale
        • Les principes de l’UFAL
        • Les actions de l’UFAL
        • Les commissions de l’UFAL
        • En savoir plus
      • Rapports d’orientation
        • Rapport 2019-2021
        • Rapport 2016-2018
        • Rapport 2014-2015
      • Organigramme de l’UFAL
        • Le secrétariat
        • Le bureau national
        • Le Conseil d’administration
        • L’équipe du siège
      • Les implantations de l’UFAL
        • L’organisation du réseau
        • Carte des UFAL locales
      • Nos partenaires
        • Organismes partenaires et amis
        • Partenaires commerciaux
    • Nos pôles thématiques
      1. Laïcité
      2. Familles
      3. École
      4. Santé – Protection sociale
      5. Logement
      6. Écologie
      7. Féminisme et questions de genre
      8. Jeunesse
      9. Autres sujets
      Featured
      26 juin 2022

      Le juge, le burkini, et le « principe de laïcité et de neutralité du service public ».

      Recent

      Le juge, le burkini, et le « principe de laïcité et de neutralité du service public ».

      Dérives communautaristes à Grenoble, réponse au commentaire d’une adhérente

      Dérives communautaristes à Grenoble

    • Nos actions
      • Agenda
      • Interventions en milieu scolaire
      • Une complémentaire santé solidaire et accessible
      • Les campagnes de l’UFAL
        • Appel aux dons en soutien aux laïques bangladais
        • Pour le droit de blasphème sur tout le territoire de la République
        • Non à l’injustice fiscale
        • Contre le financement public de Civitas
        • Laïcité sans exceptions
        • Parler français
      • Les événements nationaux
        • Université Populaire Laïque 2022
        • Semaine de la laïcité 2021
        • Université Populaire Laïque 2019
        • Programme de la Semaine de la laïcité 2018
        • Université Populaire Laïque 2017
        • Table ronde pour les 70 ans de la Sécurité sociale
        • Conférence « Laïcité, liberté : même combat ! »
        • Colloque « Pour un accès universel aux soins »
        • Colloque « Repenser la filiation : un enjeu de progrès »
      • Revue de Presse
    • Participer !
      • Adhérer à l’UFAL
      • Faire un don à l’UFAL
      • La boutique militante
      • Outils pour les militants de l’UFAL
    • Nos médias
      • Recevoir UFAL Flash
      • Le journal trimestriel UFAL Info
      • Laïcidade, la voix laïque et sociale
      • Cause Républicaine, revue semestrielle
    • Nous contacter
      • L’UFAL nationale
      • Les UFAL locales
    UFAL
    Vous êtes ici :Home»École de la République»Ecole : révision indispensable
    École de la République

    Ecole : révision indispensable

    l'UFAL - Union des FAmilles LaïquesBy l'UFAL - Union des FAmilles Laïques20 avril 20084 Mins Read
    Facebook Twitter LinkedIn Email WhatsApp

    Le « recentrage » de l’école est-il mal parti ? Les nouveaux programmes de primaire et de maternelle, publiés le 20 février, sont aujourd’hui soumis à un feu nourri de critiques émanant des organisations syndicales et des cercles pédagogiques. Deux anciens ministres de l’éducation nationale, Jack Lang et Luc Ferry, y ont joint leur voix dans une tribune remarquée (Le Monde du 14 mars).

    Ces programmes, dit-on, porteraient un « alourdissement des contenus », une « conception mécaniste des apprentissages » et un « affaiblissement de leur dimension culturelle ». En renonçant à la « transversalité des savoirs » au profit des seules « approches transmissives », ils sacrifieraient « l’envie d’apprendre » qui est « la condition première de la réussite ». Sous un affichage avantageux, on ne trouverait en fait qu’ »appauvrissement intellectuel » et « déni de la pédagogie », bref, « populisme scolaire » et réaction sur tous les plans.

    Qu’y a-t-il de fondé dans ces critiques ? Soit dit sans parti pris, peu de chose. Certes, le texte présenté par le ministère de l’éducation nationale ne répond pas à une inspiration unique, et il comporte quelques concessions à des thèmes imposés. Néanmoins, dans ses parties principales, telles que celle qui concerne le français, il apparaît comparativement comme le plus solide et le moins idéologique qu’on ait connu depuis des décennies.

    La raison en est simple : renonçant à délivrer, comme les programmes de 2002, toute une théorie des apprentissages, ce texte se borne, pour l’essentiel, à définir avec sobriété le contenu des enseignements, ainsi que les connaissances et compétences dont l’acquisition sera requise à chaque niveau et au terme de chaque cycle.

    Mais apparemment c’est ce choix qui embarrasse. En premier lieu, objectent les détracteurs, ces programmes « clairs et concis » le seraient trop pour être honnêtes. Les « apprentissages fondamentaux » étant chose complexe et délicate, il conviendrait d’entrer dans les détails touchant la manière d’enseigner. C’est une erreur : un programme doit fixer des objets et des objectifs ; il n’a pas à dicter aux maîtres leurs méthodes, ni à entrer dans des attendus théoriques par définition sujets à caution.

    Ensuite, il y a l’ »alourdissement », sensible en mathématiques et surtout en français. Qu’on s’interroge pourtant : l’effondrement des performances en compréhension des textes lus et en rédaction, constaté par tous à l’entrée au collège et encore souligné par les enquêtes les plus récentes (Le Monde du 29 mars), n’exige-t-il pas que la grammaire et le vocabulaire soient désormais enseignés de manière plus systématique ?

    Enfin, nonobstant l’introduction de l’ »histoire des arts », ce programme renoncerait à la dimension culturelle au profit d’un morne « entraînement ». Qui ne voit pourtant que, dans toutes les matières fondamentales, c’est aujourd’hui chez les écoliers l’ »entraînement » qui manque le plus ? Et que bien loin d’exclure une pédagogie vivante, cet entraînement l’appelle et la nourrit ?

    En arrière-fond de ces reproches, deux idées très peu défendables : pour les programmes scolaires et les méthodes pédagogiques, tout ou presque aurait été réglé, disons de 1989 à 2004 ; à l’école, donc, tout ou presque irait bien si seulement les moyens étaient au rendez-vous.

    On sait bien – et l’on savait, à gauche comme à droite, dès avant la nomination de Xavier Darcos – que la réalité est tout autre. A l’école primaire et d’abord dans les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM), la doctrine officielle a longtemps été que l’enfant avait à « construire son propre savoir » et le maître à l’assister dans cette activité.

    C’était, qu’on l’ait voulu ou non, confiner la parole enseignante dans un rôle subsidiaire, la délier d’une obligation de culture et d’exactitude, et soumettre les apprentissages à des « rythmes » toujours plus étirés. Sur le plan théorique, cette doctrine est aujourd’hui exsangue. En pratique, elle est allée jusqu’au bout de ses effets, et les contre-performances désormais notoires de notre système d’enseignement obligent, dans l’intérêt de tous, à des révisions rapides.

    Au principe « enseigner moins pour enseigner mieux », il s’agit donc de préférer cet autre : « enseigner mieux en enseignant plus » – « plus » ne voulant pas dire ici plus longtemps, mais « en transmettant davantage, à commencer par les bases ». Un tel principe est-il réactionnaire ? Nullement. Sera-t-il aisément reçu ? C’est autre chose. Entre crise budgétaire et défiance politique, avec une vie enseignante devenue bien rude et beaucoup d’appréhension de l’avenir, le fait est que cette révision s’impose au moment le plus malaisé.

    Le problème, à la limite, n’est pas celui des nouveaux textes qui, une fois relus et adoptés, seront bien sûr jugés à leur application. Le problème est plutôt celui du contexte : les contenus redéfinis auront besoin, pour les porter, d’une nouvelle énergie, qu’une gestion trop restrictive sera de nature à décourager. De là une équation complexe, qui n’est pas simplement budgétaire et dont le ministre de l’éducation ne détient pas seul la solution.

    Print Friendly, PDF & Email

    Partager :

    • Tweet
    • Telegram
    • WhatsApp
    Agence régionale de santé (ARS) Crise Darcos Ecole énergie enseignement Formation Grammaire Maternelle Pédagogie Programmes
    l'UFAL - Union des FAmilles Laïques
    • Website
    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn

    L'Union des FAmilles Laïques est un mouvement familial qui défend la laïcité, une vision progressiste et non familialiste de la famille, la protection sociale et les services publics, le féminisme, l'école républicaine, le droit au logement et l'écologie

    Articles liés

    Cupidité et séparatisme, l’Enseignement catholique à l’offensive

    🎧 i tréma #27 – Laïcité : fonctionnaires et enseignants mieux formés ?

    Assurance scolaire, les familles doivent pouvoir choisir en toute connaissance de cause

    Comments are closed.

    Je signe pour soutenir la demande de l’Ufal d’un versement de l’Allocation de rentrée scolaire dès l’âge de 3 ans !

    Lire la pétition

    L’UFAL pointe une incohérence flagrante : l’instruction ayant été rendue obligatoire à partir de l’âge de 3 ans depuis la rentrée 2020, il est anormal que l’Allocation de Rentrée Scolaire demeure réservée aux familles ayant des enfants de 6 ans et plus. Pour les enfants scolarisés dans un établissement scolaire dès 3 ans, la rentrée scolaire engendre des frais non négligeables pour les familles. Selon une étude du Ministère de l’Éducation nationale datant de 2015, le coût de la rentrée scolaire en maternelle est en moyenne de 520 euros par enfant. À eux seuls, les frais d’inscription de garderie et de cantine représentent 500 euros pour une année. Ce montant est sûrement supérieur aujourd’hui avec l’augmentation généralisée du niveau des prix qui frappe notre pays.

    Par conséquent, je soutiens l’UFAL qui en appelle à une révision des conditions d’octroi de l’Allocation de Rentrée Scolaire afin que cette prestation soit versée dès l’âge de 3 ans pour les enfants scolarisés.

    %%votre signature%%

     

    Partagez !

       

    UFAL Flash

    Formulaire d'inscription à UFAL Flash, la lettre d'information de l'UFAL

    Carte des UFAL locales et départementales

    Voir en plein écran

    Évènements à venir
    Juil
    7
    jeu
    10 h 00 min Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Juil 7 @ 10 h 00 min – 12 h 00 min
    Permanences d'accès aux droits avec l'Ufal du Calaisis @ Maison des associations
    L’Ufal du Calaisis vous reçoit à sa permanence d’accès aux droits un jeudi par mois Contact : 06 31 33 51 96 ufalducalaisis@gmail.com Permanences gratuites d’aide à la constitution de dossier CAF, Sécu, Mutuelle ;
    Oct
    6
    jeu
    10 h 00 min Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Oct 6 @ 10 h 00 min – 12 h 00 min
    Permanences d'accès aux droits avec l'Ufal du Calaisis @ Maison des associations
    L’Ufal du Calaisis vous reçoit à sa permanence d’accès aux droits un jeudi par mois Contact : 06 31 33 51 96 ufalducalaisis@gmail.com Permanences gratuites d’aide à la constitution de dossier CAF, Sécu, Mutuelle ;
    Nov
    3
    jeu
    10 h 00 min Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Nov 3 @ 10 h 00 min – 12 h 00 min
    Permanences d'accès aux droits avec l'Ufal du Calaisis @ Maison des associations
    L’Ufal du Calaisis vous reçoit à sa permanence d’accès aux droits un jeudi par mois Contact : 06 31 33 51 96 ufalducalaisis@gmail.com Permanences gratuites d’aide à la constitution de dossier CAF, Sécu, Mutuelle ;
    Déc
    1
    jeu
    10 h 00 min Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Permanences d’accès aux droits a... @ Maison des associations
    Déc 1 @ 10 h 00 min – 12 h 00 min
    Permanences d'accès aux droits avec l'Ufal du Calaisis @ Maison des associations
    L’Ufal du Calaisis vous reçoit à sa permanence d’accès aux droits un jeudi par mois Contact : 06 31 33 51 96 ufalducalaisis@gmail.com Permanences gratuites d’aide à la constitution de dossier CAF, Sécu, Mutuelle ;
    Voir le calendrier
    Ajouter
    • Ajouter au calendrier Timely
    • Ajouter à Google
    • Ajouter à Outlook
    • Ajouter au calendrier Apple
    • Ajouter à un autre calendrier
    • Exporter vers XML
    Facebook Twitter YouTube LinkedIn RSS
    Mentions légales

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

     

    Chargement des commentaires…